Debra et Scott pénètrent
dans la boutique dun antiquaire. Pendant que la jeune femme
saffaire autour des robes de mariées, le jeune homme
fouine de son côté. Il tombe sous le charme dun
vieux bureau ayant appartenu à un général nordiste
et passionné par lhistoire de la guerre de Sécession,
lacquiert. De retour chez lui, il le brique et tout à
fait par hasard, il actionne un système d'ouverture et un tiroir
secret apparaît. A l'intérieur, il découvre un
porte-plume, un encrier vide, du papier à lettres à
l'en-tête d'une certaine Elizabeth Whitcomb et du courrier.
La première lettre qu'il parcourt est datée du 16 avril
1863. Elizabeth, qui a à l'époque 29 ans, y confie son
désarroi à l'idée de devoir épouser un
homme choisi pour elle par son père alors qu'elle rêve
encore au grand amour. Emu par ce qu'il vient de lire, Scott décide
de lui répondre
Le lendemain, il rappelle l'antiquaire
pour lui demander l'adresse de la maison où il a trouvé
le fameux bureau. Il s'y rend, mais se fait éconduire par une
servante noire qui lui lance à la face que " jamais mademoiselle
Clarice ne partira en maison de retraite ". Dépité,
Scott raconte toute l'histoire à sa mère. Celle-ci l'encourage
à échanger une correspondance régulière
avec Elizabeth. Seulement, 134 années séparent les deux
jeunes gens
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