Expressions

Saison 1 - Saison 2
Saison 2

365 .

Bruno [siffle en admirant la jolie jeune femme qui traverse la rue]
Nora [continue de marcher en lui faisant un grand fuck]
Sophie : Et comment va Flofi ?
Nora : On ne l'appelle plus Flofi depuis les années 70 !
Sophie : Ah oui, c'est si vieux que ça ... ! Et comment a t-elle évolué ?
Nora : Pas aussi bien que vous à mon avi
Sophie : J'au au moins dix ans de moins qu'elle au minimum !
Nora : C'est pas ce que je voulais dire.
Bruno : Vous voyez le gros arbre ?
L'Etudiant : Vous parlez du chêne, c'est une merveille, il a au moins deux cents ans.
Bruno : Ouais, ouais, ben justement on en a marre de le voir !
L'Etudiant : Allez vous faire soigner espèce de... espère de taré de capitaliste

366 .

Bernard : PDBBM : Principe de Base c'est la Bonté de notre Maison.
  Katia : Eh bien, j'en connaissais déjà un qui mangeait comme un ogre maintenant j'en ai deux !

367 .

Bernard : Qu'est ce qu'il se passe ici ?
Katia : Il se passe que Monsieur s'amuse à fourrer son nez dans nos affaires
Bruno : Non c'est pas vrai, je fouillais pas, je regardais c'est tout !
Bernard : Sur quoi veux tu qui tombe ? Il a trouvé des photos de nu ?
Bernard [à Katia] : Tu te fais des idées, je le trouve très sympathique le petit Bruno. On dirait un éléphant dans un magasin de porcelaine mais c'est parce qu'il n'a pas encore trouvé sa place.
Bruno : Peut être que vous pouvez m'aider mais je me suis perdu
Sophie : Oh le pauvre petit garçon c'est perdu... et il tombe nez à neez avec la méchante sorcière...

368 .

Hugo : Ce n'est qu'une impression où ça sent le bruler ?
Nora : Euh... Ce sont vos fesses !
Hugo : Mes fesses ! Non mais vous dérailler ! Ce sont mes fesses ! Ce sont mes fesses !
Bruno : Quand je pense que je lui ai mit le feu aux fesses alors que c'est une star
Julien : Quoi ? Hugo a pris feu ??

369 .

Bruno : On pourrait au moins trinquer ?
Nora : Je ne vois pas à quoi je pourrais trinquer avec vous ?
Bruno : A mon départ, au fait que c'est la dernière fois qu'on se voit
Nora : C'est promis !?
Bruno : De toute façon faut pas se voiler la face, nous deux ça n'aurait jamais marcher
Nora : Je crois que je devrai finir par m'en remettre
Bruno : Oh pour ça, je vous fait confiance.
Bruno : Mais à une seule condition, vous arrêtez de vous en prendre à mes chaussures, j'y tiens beaucoup
Nora : Ca j'avais remarquer
Bruno : PEB : Principe Estampillé Bernard.

371 .

Katia [à Bernard] : Attends un peu... mes lettres sont soporiphiques ?
Bruno [à Julien] : Je sais pas trop... enfin... c'est notre arbre, je crois que je l'ai assassiné .
Julien : [...] D'accord, si c'est pour que tu pionces devant le magasin autant que tu viennes chez moi.
Bruno : Quoi !? T'es sérieux, oh merci, t'es vraiment sympa.
Julien : Ouais je sais. On risque d'être à l'étroit mais viens...
Bruno : Oh ça, c'est pas un problème, je serai me faire tout petit.
Julien : C'est ça.
Bruno : Tu verras même pas que je suis là...
Julien : C'est pas la peine reste comme t'es !
  Laura : Bernard, vous tombez à pique ! Regardez ce massacre.
Bernard : C'est pas possible, pas le cerisier.
Laura : C'est terrible. C'était quoi à votre avis, un sanglier peut être. Ou peut être un blaireau
Bernard : Non. ... Je pense que c'est Bruno
Frédéric : Tu en es sûre ?
Laura : Un blaireau qui s'appelle Bruno
Bernard : C'est pas un blaireau, juste un drôle d'oiseau
Julien : T'es toujours là où il faut pas ! Au fait, tu ne devrais pas déjà être parti ?
Bruno : Si
Julien : Alors pourquoi t'es toujours là ?
Bruno : Parce que je suis pas ailleurs.
  Bruno [à Julien] : En général on ment, quand on veut pas dire la vérité.

372 .

Bruno [à Bernard] : Je suis comme ma soeur, Assistante... Euh Assitant de Direction.

373 .

Nora [ à Bruno] : Vous songez aux efforts qu'on fournit les gens que vous avez envoyé pour aller à la pêche à la planche à repasser pour décrocher cet entretien ?
Yvonne [à Max] : Mais y'a rien de tel de vivre à la campagne pour forger le caractère !... Et pense un peu à tous les enfants que tu vas pouvoir me faire dans les champs aux alentours ?
Doreen : Euh... 1 ou 2 "m" à limousine ?
  Thibault [à Bruno] : Alors c'est pas une blague, il parait que tu es l'assistant de Sophie la Momie ?
Angelina [à Thibault] : Fermez la bouche, vous bavez !

374 .

Hugo [à Sophie] : Et qu'est ce qu'on nous reserve ensuite ? Le comptable va dessiner les modèles et le coursier va se mettre à coudre !
Katia [à Bernard] : T'as encore fait une bétise ?
Nora [à Bruno] : Mes lèvres sont restées en contact avec les votres aussi longtemps que j'ai pu le supporter !

376 .

Doreen : J'adore les clowns. Maman en faisait toujours venir un pour mes goûters d'anniversaire.
Bruno [à lui même] : Bein elle aurait peut être pas du !
Bruno : Vous, vous vouliez me parler ?
Doreen : Euh... ça y est ça me revient, vous vouliez que je vous dise discrètement quand Monsieur Amendola arriverait Discrètement. [rires]
Yvonne : Je croyais que t'avais pris de l'essence avant de partir ?
Max : Oui mais pas pour traverser la moitié du pays chérie.
Yvonne : Il doit y avoir 20 bornes à tout casser.
Max : Quand tu te plantes de direction à chaque carrefour, ça rallonge !
Bernard : [...] Il se trouve que le monde n'est ni tout blanc ni tout noir...
Katia : Y'a le gris entre les deux !

377 .

Julien : Votre femme doit savoir qu'elle n'a pas un mari bricoleur.
Max : Ma femme, elle ne sait rien sur rien. Elle ne sait même pas comment... comment on épelle le mot "immobilier"
Julien : Non, mais par contre elle sait épeller le mot "biberon" et elle sit ce que c'est une couche culotte
  Bruno : Non, non non, je ne peux pas vous la rendre, je n'ai pas encore fini de la retaper
Nora : Et comment je vais faire, je ne peux pas rentrer à cloche pied ?
Bruno : Enlevez l'autre chaussure comme ça on ne verra pas la différence.
Nora : Vous êtes un marrant.
Bruno : Je peux vous porter jusqu'à un taxi si vous préférez.
Nora : De toute manière cette fille est dure comme l'acier.
Bruno [à lui même] : Elle n'est pas dure comme de l'acier. Elle est en acier. Mais qu'est ce qu'il en sait lui !
Sophie : La prochaine fois si tu as une brusque envie de frapper à la porte avant d'entrer, surtout ne te retiens pas Kim
Kim : Très drôle !

378 .

Nora : Vous m'espionnez maintenant ?
Bruno : Non, non, j'ai juste un peu écouter
Doreen [à Bruno] : Vous avez vu tous les chiffres qu'il y a ? Tous ces chiffres, moi ça me donne la migraine. Rien que de voir le tirage du loto, je suis obligée de m'allonger.
André [ à Guiletta] : C'est quoi ce grand sourire d'un coup !? Tu fais de la pub pour du dentifrice ?
Katia : Vous vous y connaissez en percolateur ?
Bruno : Ouais
Katia : Il est bouché
Bruno : On m'a justement surnommé Débouche Percolateur
Katia : [rires]
Sophie : Et où en êtes vous de la présentation Monsieur Débouche Percolateur ?

379 .

Julien : Cette femme croit moi, c'est un croisement entre le Docteur Mabuse et l'immonde cruella
Bruno : Il manquait plus que ça ! Moi qui pensait que c'était une femme d'affaire hyper énergique !
Julien : Energique ! Et bien c'est le moins qu'on puisse dire
Bruno : Mais tu crois qu'elle pourrait être assez mauvaise pour nuire à quelqu'un ?
Julien : Sophie a de l'acide de batterie dans les veines !
Bruno [à Julien] : Mais cette femme est un véritable cauchemard embullant !
Bruno [à Julien] : Faut que je fasse le faux cul c'est ça... ahhhh d'accord.
Katia [à Bernard] : Qu'est ce que tu as encore fait ? Je parie que tu lui as donné un verre de gnaule, c'est ça hein ?
Julien [à Thibault] : C'est quoi ce regard vitreux, tu vas faire tourner mon lait !
Sophie [à Bruno] : [...] Je finis par penser que la seule chose que vous ne sachiez faire c'est repasser et encore il ne faut pas que le tissus soit trop froisser.

381 .

Sophie [à Kim] : Ben alors, on a mal dormi ? Quelqu'un a mis un petit pois sous le matelat de ma princesse ?
Bruno : Tu veux que je t'accompagne ?
Bernard : Non, ça c'est pas une bonne idée Bruno.
Bruno : J'peux très bien attendre dehors.
Bernard : Ca c'est une bonne idée Bruno.
Sophie [à Kim] : Alors princesse, tu l'as trouvé ce petit pois qui te rend grognon ?
  Katia : Si tu es allais voir ailleurs à chaque fois qu'on se disputait, il doit y en avoir beaucoup des Bruno.

383 .

Julien : Kuballa, Société à Responsabilité Limitée.

384 .

Frédéric : Tu devrai faire attention, c'est un Plenske pure jus que tu as là.
Sophie : Je crois que je nage en pleins cauchemard.
Bruno : Je suis vraiment le roi des baratineurs.
Nora [à Bruno] : Bon ben moi, je rentre. Je vous laisse discuter avec les glands.
Nora : Mais je n'ai rien à vous prouvez
Bruno : Dis la lopette en descendant du plongeoir de 10 m. Je connais ça !
Nora : Très bien. On va voir de nous deux qui est la lopette. Petite séance d'escalade.
Bruno : Ah cette fille te fait de l'effet Bruno, qu'elle soit en colère ou succeptible, elle te fait de l'effet. C'est dangereux ça mon gars, très dangereux. Mais je crois que je ne dirai pas non.

385 .

  Doreen : Dites, normalement "Chambre à louer", ça veut dire que vous avez une chambre à louer ?
Yvonne : C'est une question rétorique ? J'ai raison ?
Doreen : Je ne sais pas, j'étais sérieuse
Yvonne : Dites moi Doreen, je ne voudrai pas me montrer indiscète mais vous êtes une vrai blonde ?
Doreen : Pourquoi vous me posez cette question ?
  Doreen [à Julien] : Il est bien ce matelat, il est fourni lui aussi ?

390 .

Yvonne : Et pourquoi cette étagère à des angles droits aussi ?
Max : Par ce que sinon ça serait un coussin

391 .

Doreen : Mais je voudrai savoir si tu sais... si tu sais utiliser un vibromachin ?
Julien : Un vibro ?
Doreen : Oui, tu sais ces engins qui font des trous dans les murs parce que deux copains sympas ont voulu accroché un tableau chez moi mais ils n'y sont pas arrivés.
Type du Kioske : Franchement, je me demande ce qu'un cannon comme elle, peut trouver à un type comme lui !?
Yvonne : Et là, je vous arrête tout de suite ! Lui c'est... Julien Decker, vous ne le connaissez pas ?
Type du Kioske : Non
Yvonne : Parce que vous n'êtes pas blonde évidemment, parce que lui c'est un tombeur !
Hugo [à John Foucks] : On dirait que l'eau plate vous a ennervé les cellules mon cher John.

392 .

Max [à Katia et Yvonne] : Bon bein vous n'allez pas faire un concours pour savoir laquelle de vous deux à le mari le plus muffle ?.
Bruno [à lui même] : Ils vont peut être divorcé à cause de toi espèce de truffe

394 .

Nora [à Stan] : Voici Stan Lehmann, euh Lindberg mon mari.

395 .

Hugo : Votre tenue est immonde.
Doreen : Je vous remercie.
Hugo : Je vous en prie
Julien : C'était des orchidées...
Doreen : Peu importe ce qui est certain c'est que toi tu es un pervers !
Doreen : D'accord, mais cet homme là on peut lui parler avec douceur, c'est un ange, ça crève les yeux
Katia : Pourquoi ?
Doreen : Parce qu'il n'a pas parlé à mon décolté.
Bruno : C'est lui qui a commencé !
Stan : Oh le menteur...

398 .

Bruno [à lui même en parlant de Nora] : Cette fille a un goût de chiotte.

399 .

Mme. von Hampstein : De mon temps, il y avait de vrai danseurs
Et de mon temps, à la campagne... quand une fête avait un peu de mal à démarrer...
Nora : Quoi, le bal des pompiers ?
Bruno : Non, eux, il mettaient toujours le feu.
Bruno : Le B.S.G : Le Bruno Super-Groove

400 .

Bruno [à Nora] : Vous êtes comme vos créations... très fade, prévisible et ennuyeuse... Pourquoi ne pas ajouter quelques franfreluches ou des petites fleurs ?
  Julien : Je sais ce qu'on va en faire.
Doreen : Tu vas l'emmener à l'institut médico-légal.

401 .

Julien : La mettre en terre c'est affreux c'est si froid et si sombre
Doreen : Peut être dans le frigo, il fait encore plus froid
Julien : Oui mais y'a au moins de la lumière à l'intérieur
Doreen :Je dois bien ça à mon petit canari.
Julien
: Oui, oui, bien sur. Et tu vas porter le deuil longtemps ?
Doreen :Je ne sais pas encore, peut être... six mois ça devrait aller...
Julien : J'ai pas l'habitude, je ne sais pas ce qu'on donne à un repas d'enterrement.
Doreen : C'est trop gentil, mais je refuse d'avaler un aliment d'origine animal.
Julien : Bon d'accord, euh... tu veux des petits oursons ?
Doreen : Je viens de te dire pas d'animaux.

402 .

Louise : Oh toi, tu n'as pas changé, t'es toujours le même tel que je t'ai connu... même si tu as pris un peu de ventre, et quelques cheveux gris.
Frédéric : Non, ils sont blonds
Bruno : Louise, vous avez de vrais doigts de fées.
Louise: Ca va comme ça les compliments jeune homme, vous essayez de me séduire ?
Nora : Dès le début, je sais qu'on y arriverai pas. Je démissione comme ça je n'aurai pas à supporter derrière moi un boulet comme vous !
Thérésa : Non, toi tu me touches pas, c'est bon ! T'es vraiment un gros naze !!
M. Prodeaux : Thérésa, il veut seulement nous aider...
Thérésa : Tu sais où tu peux la mettre ta charité de bourgeois ? Tu peux la mettre aux chiottes

404 .

Kim : Comment va papa ?
Laura : Demande lui directement, ça lui fera certainement plaisir.
Kim : J'y penserai. Il a trouvé quelqu'un à mettre dans son pieu ?

405 .

Laurence [à Katia] : A part lécher les bottes, vous savez aussi faire du café, j'en prendrai bien un.
Sophie : Au fond, je ne devrai pas m'ennerver, ça creuse les rides.
Nora : C'est une lettre de démission
Sophie : Oui, j'hésite à l'accompagner avec un coup de pied aux fesses
Julien : Tu vas plus à l'institut de beauté ?
Doreen : Si pourquoi ?
Julien : Ils ne sont pas sensé te maquiller là bas ?
Doreen : Si, mais sans maquillage, j'ai l'impression d'être nue comme un vers 18,30

407 .

Bernard [à Katia] : J'ai une dette envers toi ma souricette.
Julien [à Bruno] : Cette saucisse sera redevenue un cochon avant que t'es réussi à la faire changer d'avi.
Bernard [à Katia] : Hé oui, c'est que ton gros nounours se faufile sans bruit comme un renard.

409 .

Laurence [à Katia] : J'aime le café noir comme la nuit et amer comme la vie.

411 .

Frédéric : C'est quoi tout ces tralala, humm ?tu comptes me faire une demande en mariage.
Bernard : Faudrai commencé déjà par se fiancer... non, tout ça, ça n'a rien à voir...
Doreen : Vous me faîtes plaisir
Norbert : Pourquoi ?
Doreen : Parce que vous êtes un homme à part, les autres n'ont qu'une seule chose en tête...
Julien [à Bruno] : Ah si vous n'existiez pas, il faudrait vous inventer.
Doreen [à Julien] : Norbert a beaucoup de respect pour moi, il n'en a pas après mon corps comme tous les autres.
Nora : Encore avec cet engin ? Le voyeur qui sommeille en vous n'a pas eu sa dose ?
Bruno : Un voyeur ça mate, moi j'écoute !

412 .

Katia [à Bruno] : Vous savez vous pouvez dormir tout nu.
  Théresa [à Laura] : T'es barré ou quoi !?
  Théresa [à Laura] : N'empêche que c'est pas très bandant comme tenue
  Bruno : Salut, félicitez moi, je suis devenue le fils de mon père
Nora : A l'âge de 27 ans, super, il était temps !
  Bruno [à Nora] : Je suis devenu un vrai Plenske
  Laurence [à Frédéric] : Ca me fait plaisir de vous dépanner... [...] Ca m'a fait plaisir de vous aider... [...] Ca m'a fait plaisir voilà tout.
  Frédéric : Gabrielle... ?
Gabrielle : Oui Monsieur.
Frédéric : Apportez nous des boissons chaudes
Gabrielle : Si ça peut détendre l'atmosphère, je m'en occupe tout de suite Monsieur.
  Bruno : Ooooh Magnifique ! Pour un gateau comme celui-ci, je pourrais vous épouser !
Katia : Désolé Bruno, mais votre papa est passé avant vous
  Bruno : Je me présente Bruno Lehmann, créateur de chaussures, est ce que vous permettez que je touche ?
Tante Carlotta : Que viens faire un amoureux de la chaussure chez Kérima ?
Bruno : C'est simple, disons que j'ai des liens familiaux avec cette société. Ca alors, vous savez c'est incroyable, c'est une semelle cousue main avec du vrai craind de cheval. Est ce que je peux les prendre en photo ?
Tante Carlotta : Avec moi dedans ?
Bruno : Je préférerai sans.
Paolo : Ma tante, se jeune homme t'importune
Tante Carlotta : Non mon garçon, il me divertit

413 .

Katia : Mais c'est du tango Bernard !
Bernard : Non ça c'est du Plenske !

415 .

Frédéric : Quand on prend froid, c'est toujours la même chose. Avec des médicaments ça dure une semaine et sans médicaments 7 jours...
Sophie [à Bruno] : Allez-y avant que tous ces tocards prennent racines dans le hall

416 .

Bruno [à Julien] : Je reviens te demander conseil et toi tu me traite de bouffon
Bruno [à Julien en parlant de Tante Carlotta] : Tu l'as connais pas cette vieille carne
Bruno : Vous aimez les animaux ?
Tante Carlotta : Uniquement si on peut les transformer en manteau de fourure mais je ne vois pas en quoi ça vous regarde.
Bruno : Je me suis trompé, vous n'avez pas de coeur.
Tante Carlotta : Enfin, vous vous en rendez compte.
Paolo [à Stan] : Ca existe encore les maris sincères ?
Katia : C'est pour qui ça ? C'est pour Ernest.
Bruno : Je vois qu'on se régale ici, je peux avoir la même chose ?
Julien : Il va falloir que tu fasses le beau et que tu te roules par terre
Doreen : Oh des Pères Noël en chocolat, ils sont trop mignons.
Julien : Si on aime les vieux barbus avec une grosse brioche.
Bruno : Demain, c'est la fin du monde
Doreen : Quand même pas pour de vrai, si ?
Bruno : Encore un représentant.
Doreen : Ou alors c'est une secte, ils sont déjà passés hier
Bruno : Je suis tellement déprimé que je me demande si je ne vais pas les rejoindre, je te jure.

417 .

Bruno : Oh, si vous cherchez les autres, ils sont dans la bibliothèque, ils avaient besoin de place pour travailler. Je suis restée là pour ne pas les déranger. Ma mère me lisait ça quand j'étais petit...
Gabrielle : Quoi ! Le Kamasutra !?
Bruno : Oui, ma mère est une femme à l'esprit très ouvert, pas coincée pour un sou.
Gabrielle : On voit le résultat
  Nora [à Bruno] : Allez y, excaptionnellement je ne mordrai pas.

418 .

Kim : De quoi tu parles ?
Sophie : Hé bien, comme tous les méditérannéens au physique avantageux, il n'est pas très futé.
Kim : Paolo est un homme très brillant et sensible. Enfin la plus part du temps
Sophie : Quand un type comme lui a décidé de mettre une fille comme toi dans son lit, ces neuronnes se mettent à tourner à plein régime, mais quand il s'agit de choses importantes comme les affaires par exemple, alors là, il a le Q.I. d'un mollusque. Surtout quand il doit faire ce qu'une femme lui dit de dit de faire.
  Sophie : Espérons qu'il sait faire fonctionner son cerveau.
Kim : Hein ?

419 .

Bruno : Ca n'a rien de cochon, c'est une presse spécialisée
Doreen : Et c'est quoi leur spécialité ?
Doreen [à Bruno] : Quand les mecs deviennent faux cul, on les desteste
Bruno : Qu'est ce que je dois faire Nora ?
Nora : Lafermer et sourire !

420 .

Doreen [à Bruno] : Non mais t'es grave !
Bruno : Dis Doree, tu crois pas que tu en fais un peu trop là ?
Doreen : Je croyais que tu aimais quand c'était corsé !
Tante Carlotta [à Sophie] : Mais de votre part, c'est un simple calcul
Sophie [à Tante Carlotta] : Vous savez dès notre première rencontre, j'ai compris une chose. Vous et moi, nous nous ressemblons beaucoup.
Sophie : En fin de compte, on est de la même trempe toutes les deux. Dites, sagissant de vos part, avez vous décidez de ce que vous alliez faire.
Tante Carlotta : Permettez moi de vous répondre pas une autre question. Sérieusement, comment pouvez vous, vous comparez à moi ? Nos mondes diffères. Ma famille c'est l'élite, la votre c'est plutôt la plebe. Vous aurez beau gesticuler en tout sens pour vous élever jusqu'à moi, vous ne m'arriverez jamais à la cheville. Je sais que vous me comprenez parfaitement. C'est un beau geste, de m'avoir fait cadeau de cette robe... et j'ai trouvé notre petite conversation très... ... ... amusante, mais pour répondre à votre question, si d'aventure j'avais besoin de conseil sur mon patrimoine et sa gestion, ce n'est pas à vous que je m'adresserai.
Bruno : Désolé de parler comme ça de votre famille, mais ce Paolo c'est vraiment un enfoiré !
Paolo : C'est de moi que vous parliez ?

421 .

Hugo : L'autre invitation, je l'ai donné à un de nos photographes
Laurence : C'est pas du jeu, vous auriez pu tout de même organiser un tirage au sort, une lotterie !
Hugo : Pour que le premier venu la gagen, ce serait quand même un comble de donner de la confiture aux cochons
Laurence [à Louis] : Je crois bien que je serai prette à y aller toute nue pour aller à ce genre de fête en échange d'une invit... bref... je crois que je peux courir pour être inviter à ce genre de fête.
Un enfant [à Katia] : Vas y lache l'affaire !

422 .

Hugo : C'est ça, excusez nous, il se trouve que nous devons aller...
Laura : Allez saluer...
Hugo : Non, siffler... deux flutes...

426 .

Doreen : Des factures ?
Nora : Non, des chaussures !
Doreen : Je connais ça, trouvez des chaussures c'est aussi difficil que trouver l'homme idéeal
Nora : Dévellopez...
Doreen : Soit elles sont super belles, impossible de marcher avec, soit elles vont bien mais elles sont supers laides.
  Katia [à Bernard] : J'aurai voulu que tu sois là, les tartines sont parties comme des petits pains, c'était de la folie, les produits de qualité ça fait toute la différence

428 .

Nora [à Stan] : Très sexy, on dirait un canari en short

430 .

Stan [à Nora] : Les femmes qui n'ont pas de secrets sont comme des mots croisés non résolus
Kim [à Sophie] : Jamais personne va me reconnaître si je suis trop habillée
Bernard : Quel homme serait assez bête pour s'intéresser aux pieds d'une femme ?
Bruno : Bein moi

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445 .

Bruno [à lui même] : Ma chère Nora, le destin t'a mise sur ma route et comme par magie ça a fait des étincelles entre nous. A partir de là, c'était comme si on était embarqué sur le même manège. On s'est mis à tourner ensemble et de plus en plus vite mais d'un coup, la mécanique s'est emballé, si bien qu'on arrive plus à descendre du carousel... Nous devons trouver ensemble la réponse à la question toute simple...
Katia : Ca fera 1,50.
Laurence : Hé bein, ça fait cher le jus de chaussettes dites donc !
Bernard : Si le café vous plaît pas, aller ailleurs
Laurence : Ah ça, si j'avais le choix
Doreen [à Julien] : Vraiment Julien, tu ne crois pas qu'elle est un peu vaseuse ton enquête ?

446 .

Paolo [à Kim] : On est le 31, j'ai quand même le droit de faire la fête ! A l'année prochaine !
Theresa [à Louis en parlant de Kim] : Elle ne serait pas un peu bourré la bourge !
Sophie [chanson en anglais] : Oh Danny boy, The pipes, the pipes are calling, From glen to glen, And down the mountain side, The summer's gone, And all the flowers are dying, 'tis you, 'tis you must go, And I must bide, But come ye back, When summer's in the meadow, Or when the valley's hushed, And white with snow, 'tis I'' be here in sunshine, Or in shadow, Oh Danny boy, Oh Danny boy, I love you so, Oh Danny boy, Oh Danny boy, I love you so...
[Traduction en français]
Oh petit Danny, Les cornemuses, Les cornemuses retentissent, De vallon en vallon et sur les versants.L'été est fini et toutes les fleurs dépérissent, mais toi, mais toi, tu dois partir, et moi je dois t'attendre désespéremment. Mais si tu reviens, quand l'été chauffera la prairie ou quand la vallée blanche de neige n'éméttra plus un bruit, je serai là sous le soleil où à la nuit. Oh petit Danny, Oh petit Danny, je t'aime à la folie. Oh petit Danny, Oh petit Danny, je t'aime à la folie.

447 .

Nora : Stan, pourquoi tu es toujours si parfait ?
Stan : Parce que je n'existe que dans cette version, désolé.
Julien [à Sophie] : Chère Madame Von Brahmberg, si vous vous sentez seule et que vous cherchez compagnie, vous devriez plutôt chercher du côté de ceux qui vous ressemble.
Bruno : Vous montez ?
Paolo : Nous sommes au red-de-chaussée, ça serait difficile d'aller plus bas !
Bruno : C'est drôle !

455 .

Sophie [à Laurence] : Oui, cette fille était tellement myope qu'elle sit faite écraser en traversant... Voilà !

456 .

Bruno : Quelle idée ? J'ai pas d'idée !
  Katia [à Bernard] : Arrête, j'ai failli me faire pipi dessus

458 .

M. Schutt : Excusez-moi, j'ai rendez vous avec Madame von Brahmberg s'il vous plaît.
Bruno : Bienvenue en enfer, première porte à droite !
M. Schutt : Comment ?
M. Schutt [à Sophie] : C'est toi qui cloche !

459 .

Doreen [à son ordinateur] : Merci Ralf, je te souhaite aussi une très bonne soirée.
Stan : Mademoiselle Vogel... Mais à qui vous parler ?
Doreen : A Ralf, eh bein, c'est le nom de mon PC.
Stan : Votre PC à un nom ?
Doreen : Oui, pourquoi, le votre n'en a pas ?
Stan : Si le mien s'appelle KMH-Q-PA.12.3
  Stan : Je voulais savoir si vous aviez des rendez vous demain matin.
Doreen : Il faut que je rallume mon ordinateur.
Stan : Quoi, il dort à cette heure ci !?
Doreen : Voyons Monsieur Lindberg, un ordinateur ça ne dors pas !

460 .

Doreen :
Stan :
   

461 .

Bruno :
  Sophie [à Paolo] : Parce que vous êtes un petit rigolo !
  Doreen [à Julien] : Enfin toi, tu n'es pas un homme !
  Julien : C'est un hôtel...
Doreen : T'as raison c'est marqué dessus
  Kim [à Frédéric] : Avec toi papa, l'entreprise n'a pas d'avenir, elle a juste un passé ! Adieu papa, tu as fait ton temps.

462 .

Sophie [à Paolo] :
   

463 .

Hugo : C'est le tas de fumier de la ferme de ma tante qui m'a inspiré !
   

465.

Frédéric [à Sophie] : Tu devrai prendre rendez vous avec ton dermato !
  Frédéric [à Sophie] : Ah bon ! Je ne l'avais pas perçu comme ça. D'habitude, tes compliments ont comme une odeur de charogne en décomposition. Est ce que c'est la pleine lune ?
Hugo [à Kim] : On dirait plutôt qu'un 12 tonnes t'a percuté de plein foué !
   

466 .

Hugo :
Sophie :
Sophie [à Paolo] : Mais n'allez surtout pas immaginer que je vais me laisser intimider par le vermiceau que vous êtes !
Sophie : Vous n'êtes qu'un looser Paolo Amendola !
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468 .

Théresa : Je crois bien que c'est ça être à côté de ses pompes.
Bruno :
Anna :
Bruno :
Anna :
.... :
   

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